Neutron, une nouveauté Commodore 64

Salut les vieux,

Cela fait plusieurs jours que je vois passer des infos sur un nouveau jeu Commodore 64 du nom de Neutron. Je me suis donc décidé à le télécharger pour l’essayer et franchement je ne suis pas déçu.

Un peu d’histoire :

De retour dans les années 80, après avoir adoré jouer au jeu d’arcade Star Force, j’ai codé ma propre version sur Commodore 64, que j’avais baptisée Neutron. Le jeu était terminé, mais n'a jamais été publié car Orpheus, la société pour laquelle je travaillais à l'époque, avait fermé ses portes avant la sortie de Neutron…

J'avais toujours les fichiers en ma possession, mais le temps passait, et après avoir déménagé de nombreuses années plus tard, ne voyant aucune raison de conserver tous mes anciens ordinateurs, j'ai (tout à fait sottement lorsque j’y pense maintenant) tout balancé à la poubelle, y compris tous mes anciennes disquettes.

Beaucoup plus tard et après avoir souffert une saturation professionnelle en écrivant beaucoup de romans (je suis aussi un auteur auto-publié), j’ai décidé de m'amuser un peu et de coder certains jeux pour le C64. Après avoir rencontré le concours 16Kb cartridge competition, j’ai décidé d’y participer et je pensais que Neutron serait idéal.

Je présente donc maintenant Neutron, une version retravaillée du jeu que j'ai codé il y a longtemps. Seulement cette fois, avec beaucoup d’expérience en codage, ce jeu s’est beaucoup amélioré, à tous points de vue.

Voila donc ce que nous raconte Sarah Jane Avory ex développeuse et auteur de jeux chez Sega.

Le résultat est donc bluffant, c’est fluide à souhait, nerveux et les graphismes sont somptueux. C’est un parfait Shump qui n’a pas à rougir face à ceux sur console 16bits.

Vous pouvez donc le télécharger gratuitement sur cette page :

Neutron by SarahJaneAvory

A challenging 16k SHMUP for the C64

https://sarahjaneavory.itch.io

J’ai vraiment pris, ce matin, un grand plaisir à tester ce jeu, et je vous conseille d’en faire de même si vous possédé un Commodore 64. Cette machine n’a décidément pas fini de me surprendre.